La commission des lois souhaite qu’il y ait d’abord un examen en présentiel.
Or une telle disposition met à mal l’avancée prévue dans le texte, qui vise notamment à régler un problème auquel il est régulièrement fait référence ici, celui des déserts médicaux.
Je fais en sorte d’être pragmatique et d’éviter toute posture idéologique. Il y a un principe de réalité.
Je tiens à rappeler, pour vous convaincre, que la téléconsultation ne concerne que les majeurs non protégés.