Je ne puis que plaider en faveur d’une méthode qui laisse les acteurs locaux des chambres de commerce et d’industrie et les conseillers du commerce extérieur de la France s’organiser. En effet, ils sont les mieux à même de connaître l’environnement économique.
L’aide aux entreprises à l’étranger a trop souffert de la complexité administrative et l’aide publique au développement international a trop péché par ses incohérences. Avec ce texte, nous renverserons un peu la vapeur.