Dans le cas de l’épreuve de droit de la famille de Lyon-II, sur lequel vous m’interrogez, en effet, les étudiants avaient le choix entre deux sujets, portant tous deux sur des thèmes traités dans le cadre des enseignements dispensés. Mais, si l’un des deux sujets proposés a été rédigé dans une forme d’écriture dite « inclusive » – je n’en dirai pas plus que ce que vous avez décrit –, l’autre était rédigé de manière parfaitement classique.
Cela étant, si votre question est de savoir si j’encourage l’usage de l’écriture dite « inclusive » dans les sujets d’examen, de contrôle ou tout autre document, dans une forme utilisant des points médians ou des mots tels que ceux que vous avez prononcés, ma réponse est clairement « non », comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire.