Madame la Première ministre, les violences de ces derniers jours ont été condamnées par la quasi-totalité des formations politiques. Seule une d'entre elles, une fois de plus, s'en est exemptée.
En refusant d'appeler au calme, les dirigeants de la France soumise à l'émeute confirment qu'ils sont bien les ânes de Troie du séparatisme dans notre pays.