Quant aux protestations faussement scandalisées des despotes de Turquie, d'Algérie ou d'Iran, où la répression de telles émeutes aurait sans aucun doute fait des dizaines, voire des centaines de victimes, permettez-moi de dire qu'elles donnent la nausée !
Enfin, la responsabilité des réseaux antisociaux dans la propagation des violences est telle que le Président de la République a dû les convoquer à l'Élysée. Barack Obama disait que ces réseaux sont devenus l'une des principales menaces contre nos démocraties. La preuve en est faite.
Vous avez, madame la Première ministre, condamné hier à l'Assemblée nationale l'attitude d'un parti antidémocratique, sans statuts, sans élections internes, gouverné par un satrape colérique et omnipotent traitant ses dissidents par la mise à l'écart