Le « mur des cons » contenait la photographie de M. Escarfail, qui a pour tort d'avoir vu sa fille se faire assassiner.
Entre les deux tours de l'élection présidentielle, le Syndicat de la magistrature, a affirmé qu'il s'agissait d'un deuxième tour « de cauchemar ».
Par ailleurs, le Syndicat de la magistrature souhaite choisir son ministre.