Monsieur le sénateur Bonnus, je tiens, comme vous, à remercier les forces de l'ordre, grâce auxquelles un certain nombre de commerçants – vous l'avez dit, plus d'un millier d'entre eux ont été touchés – ont pu rouvrir.
Dans ces moments difficiles, je veux avoir bien sûr un mot de soutien, mais aussi un mot d'espoir, quand bien même cela pourrait étonner.
En effet, pour être précise, sur les 436 bars-tabacs touchés – et non 250 –, 160 ont rouvert et recommencé à travailler. Si leurs vitrines ne sont pas toujours intactes, ces commerçants sont déjà retournés au boulot.