En demandant que l’on épargne les bibliothèques et les écoles, ils autorisent les émeutiers à brûler tout le reste : les commerces, les mairies, les maisons des élus.
Ils prétendent défendre la République, mais leur but est de la faire tomber. Depuis un an, leurs convulsions à l’Assemblée nationale les discréditent, en discréditant aussi, hélas, le Parlement. Cette fois-ci, c’est la fois de trop. Le peuple français qu’ils prétendent à tort incarner s’en souviendra longtemps, tout comme s’en souviendront sans doute leurs plus proches alliés politiques, désormais honteux de cette alliance contre nature.