Merci, monsieur le ministre.
Je forme un vœu : puissiez-vous, si vous me permettez cette expression familière, « secouer le cocotier » de l’administration de la santé ou de Bercy, dont on connaît la lourdeur administrative.
Surtout, n’hésitez pas à vous appuyer sur les rapports du Sénat ! Cela permettrait de gagner du temps, car nous sommes souvent précurseurs.
L’urgentiste que vous êtes sait combien le temps est précieux quand il s’agit des soins.
Ce conseil vaut pour l’ensemble des ministères !