Je veux être très claire : dans certains pays, les images des événements sont utilisées au profit de la propagande des régimes, autant en interne que contre notre pays. Nous avons systématiquement répondu à ces malveillances, notamment aux propos qui ont pu être tenus par certains responsables azerbaïdjanais, turcs ou iraniens.
Je suis sûr que vous en conviendrez : les leçons de ces pays prêteraient à sourire si les droits de l'homme n'étaient pas aussi malmenés en leur sein.
Enfin, il me paraît nécessaire de préciser que l'on a rencontré le même problème dans beaucoup de démocraties qui, comme le Royaume-Uni, en 2011 – soit, là aussi, un an avant les jeux Olympiques –, la Suède ou le Danemark, ont vécu de tels événements. Ces pays sont extrêmement compréhensifs et partageurs des solutions qu'ils ont alors mises en place.