Madame la secrétaire d’État, nous partageons les objectifs de lutte contre la propagande islamiste, mais votre réponse n’est pas convaincante. Vous parlez de réactivité et de transparence, mais quelles conséquences politiques tirez-vous de cette affaire ?
Après la révélation du scandale du fonds Marianne, la Première ministre avait jugé qu’il n’était « pas nécessaire » de se séparer de la ministre concernée. Pourtant, disons-le, dans n’importe quel autre pays européen, Mme Schiappa aurait déjà démissionné du Gouvernement.