Je propose avant tout de communiquer la note aux commissions des affaires sociales, avant d'alerter le ministre, qui a déjà bien des problèmes à régler. Le manque de médecins ou l'état de la recherche constituent selon moi des sujets d'alerte prioritaires.
Par ailleurs, des freins existent à la recherche. Certains cas exceptionnels d'origine génétique ne peuvent pas être ajoutés aux cohortes internationales. La population française est attachée à la confidentialité des données de santé, et à juste titre. Néanmoins, parfois, cet attachement constitue un frein pour la recherche médicale.