Je m'associe bien évidemment à ces remerciements. Cette audition marque le début d'un travail de l'OPECST sur la question des micropolluants.
J'ai bien entendu la demande faite à l'Office d'appuyer l'ambition d'un GIEC des pollutions chimiques et je pense que nous nous y emploierons, avec succès espérons-le. Il y a vraiment urgence à traiter ce sujet, encore insuffisamment mis en lumière par rapport au dérèglement climatique, sachant par ailleurs que les deux dimensions sont intimement liées.