Ma question s’adresse à M. le ministre de l’intérieur et des outre-mer.
C’est la première fois que je m’exprime devant cette assemblée. Je voudrais le faire avec respect et humilité envers le peuple français que vous représentez. Le peuple kanak n’est pas l’ennemi du peuple français ; il veut mettre fin à une histoire coloniale de cent soixante-dix ans.