Monsieur le ministre, sachez que ce prélèvement est perçu comme un racket ! La solidarité financière n’est pas audible : ce n’est pas aux retraités du privé de payer le gaspillage de l’État.
En outre, la ponction demandée par l’État met en danger la pérennité des retraites complémentaires et l’avenir des relations sociales.
Si d’aventure le Gouvernement passait par le projet loi de financement de la sécurité sociale pour en obtenir le versement, nous nous y opposerions et nous engagerons notre responsabilité pour garantir l’avenir des relations sociales et la pérennité des retraites complémentaires.