J’associe à ma question mon collègue Alain Chatillon.
Monsieur le ministre du travail, je suis surprise – depuis le temps, je ne devrais pas l’être… –, ou plutôt scandalisée, de constater que, en France, lorsque l’on est vertueux, prudent et économe, l’État, qui l’est beaucoup moins, n’hésite pas à se servir et récupérer le fruit de notre travail.
Voilà ce que vous vous apprêtez à faire avec les retraites complémentaires de l’Agirc-Arrco !