a observé que ces questions relevaient de la compétence du HCSP. Elle a rappelé qu'elle estimait que le virus H1N1 pandémique était encore différent d'un virus saisonnier et que cela peut justifier que l'on veuille protéger des populations qui ne sont pas habituellement considérées comme celles pour lesquelles la grippe saisonnière présente un risque particulier.