a indiqué que les experts et les autorités sanitaires avaient été pris de cours par l'émergence du virus et s'étaient donc référés au modèle le plus probable qui était le virus H5N1. Or, celui-ci est très peu immunogène et nécessite donc, pour répondre aux critères de l'European Medicines Agency (EMA), une double dose de vaccination. Ce n'est qu'à partir d'août que des études cliniques ont pu être conduites pour mesurer l'efficacité de l'antigène contenu dans le vaccin actuel et que l'on a pu se rendre compte qu'une seule dose suffisait.