a insisté sur le fait que les experts reconnaissent leurs erreurs quand ils en commettent mais qu'il convient d'être prudent quand on se réfère à l'attitude de la population à l'égard de la vaccination. Dans les faits, l'adhésion a varié selon l'imminence du danger. Si le risque lié au virus s'était concrétisé, l'administration aurait été critiquée pour ne pas avoir donné accès suffisamment rapidement aux vaccins. De plus, le 25 novembre donc très tard, un dérapage était encore possible. On ne peut pas changer plusieurs fois de stratégie en fonction des évolutions successives du virus.