a précisé que la ministre de la santé et l'ensemble de ses conseillers auraient dû attendre avant de passer ces commandes. Il y avait certes un risque que les laboratoires honorent les achats des autres Etats avant ceux de la France. Mais c'était un pari tenable car, à l'époque, le niveau de connaissances sur le virus A(H1N1)v était encore faible.