a souligné que les consulats avaient déjà mis en place des procédures de traitement spécifique des demandes de visas émanant d'hommes d'affaires ou de scientifiques. Il a indiqué qu'était en cours de développement la création de « visas de circulation » dont la validité pourrait aller jusqu'à cinq ans. Il a annoncé que, pour inciter au co-développement, l'étranger qui retournerait dans son pays après son séjour en France pourrait obtenir un visa lui permettant de revenir sur le territoire français.
Il a précisé qu'il n'existait pas, à ce stade, de calendrier précis pour le dépôt du projet de loi sur l'immigration au Parlement, mais que les services de son ministère avaient des échanges nombreux et réguliers avec ceux du ministère de l'intérieur.