lui a répondu que les contrôles étaient lourds à mettre en oeuvre et exposaient les agents chargés de les effectuer à des situations conflictuelles.
Il a précisé que le contrôle des ressources de l'hébergeant ne consistait pas en un contrôle fiscal mais en une simple demande de fiches de paie, faciles à établir et difficiles à contester.
Il a indiqué que le contrôle des conditions de logement d'un étranger pouvait être plus strict mais que toutes les communes n'avaient pas les moyens de le réaliser.