Rappelant que tout mineur étranger devait être scolarisé, M. Claude Pernès a indiqué que la part des mineurs étrangers en situation irrégulière scolarisés dans les écoles primaires de sa commune était probablement comprise entre 1 % et 2 % de leurs effectifs.
En réponse à deux questions de M. Georges Othily, président, M. Claude Pernès a ensuite indiqué que l'Association des maires de France n'avait pas pris de position officielle sur la question de l'immigration irrégulière, ni reçu de demandes d'associations de maires l'y invitant.