a dit avoir le souvenir d'avoir indiqué, y compris dans les médias, qu'il y avait des éléments rassurants et d'autres moins. Même si le virus ne portait pas de gènes de virulence connus, on ne pouvait écarter à l'époque la possibilité de mutation vers une plus grande virulence - ce qui c'est produit en Norvège - ou une résistance aux antiviraux, non plus qu'un taux d'attaque élevé.