a répondu que, bien sûr, cela avait été le cas. Il a estimé qu'il faudrait interroger les Etats étrangers qui n'avaient pas de contrat de réservation, mais qu'il serait surprenant qu'ils aient obtenu des tranches conditionnelles. Ce qui a mis la France en difficulté, c'est que le vaccin adjuventé Emerflu prévu pour début 2009 n'a pas eu son AMM : notre principal prestataire, Sanofi, ne pouvait donc le livrer. Il a donc fallu se tourner vers le seul fournisseur qui pouvait livrer rapidement en quantités suffisantes, c'est-à-dire GSK.