Je partage très largement ce qui a été dit, mais faisons attention : c'est très français de voir ce qui ne va pas et de toujours nous comparer à ceux qui sont meilleurs que nous. N'oublions pas aussi que nous avons des forces. Il y a certes eu des erreurs, mais il faut aussi voir ce qui a fonctionné.
Nous devrons aussi nous interroger sur notre décision collective d'avoir maintenu le premier tour des élections municipales. Cela a eu une très grosse incidence, alors que l'Italie nous implorait depuis huit jours de prendre la situation au sérieux.