a espéré que les autorités nationales et internationales seraient désormais attentives aux critiques, et il a considéré qu'il fallait obliger les institutions comme l'OMS à revenir sur leurs erreurs et à mener une action conforme à leur mission. Sans cela, le risque est de continuer à gaspiller de l'argent sans bénéfice pour les populations et de décrédibiliser les politiques de santé.
Une proposition constructive pourrait être de mettre en place de meilleurs systèmes de surveillance épidémiologiques des maladies infectieuses, de mener plus d'études sur le terrain et non plus uniquement des études en laboratoire. Cela permettrait d'éviter des erreurs de jugement.