a répondu que c'est lors de la première enquête de juin 2009 que l'intention de vaccination était apparue la plus forte. Le SIG, de son côté a fait de petits sondages à partir d'août, qui montraient que le pourcentage de ces intentions diminuait pour ne jamais remonter. Il faut savoir qu'un pourcentage d'intention de 60% correspond au mieux à 30% de vaccinations réalisées et, en plus, dans les catégories les plus âgées. Autrement dit, les moins exposés au risque étaient les plus disposés au vaccin. En réalité, il fallait cibler les 20/40 ans mais cela, on ne sait pas le faire. Il fallait soit accentuer le matraquage en faveur du vaccin, soit réviser la stratégie vaccinale et ne plus commander 94 millions de doses.
Mais, a-t-il conclu, on n'a pas voulu savoir, on n'a pas voulu utiliser la connaissance.