a souligné que la difficulté posée par les mutations était leur caractère aléatoire. Un virus comme celui de la grippe mute à une fréquence élevée, même si celle-ci n'est pas aussi importante que pour le SIDA. Les calculs sur les probabilités de mutation font apparaître cette hypothèse comme tout à fait possible. L'application du principe de précaution, conduisant à une vaccination en masse, lui a donc paru logique.