est revenu sur le paradoxe consistant à conseiller la vaccination contre la grippe saisonnière des personnes âgées, qui ne réduirait la mortalité que de 1 %, et, en revanche, de ne pas la préconiser chez les adultes et les jeunes alors qu'elle serait plus efficace. Il a souhaité savoir si l'absence de vaccination des enfants et des jeunes a pour effet un surcroît de mortalité dans ces classes d'âge.