a observé que, pour répondre au souhait de M. Marc Gentilini de « mieux faire la prochaine fois », il fallait sans doute se préoccuper du double phénomène que constituent, d'une part, la modélisation qui peut être une source d'erreurs et, d'autre part, le sentiment de peur que les médias peuvent faire naître dans le public. A-t-il personnellement ou avec d'autres, comme M. Bernard Debré, réfléchi à la stratégie qui pourrait être mise en place pour contrer et dénoncer, à l'avenir, les erreurs provoquées par le recours à la modélisation et éviter l'effet amplificateur des médias ?