a dit n'avoir pas de proposition concrète à formuler. Il a pensé être dans son rôle en essayant d'inciter à la tempérance et à la réflexion quand les choses lui semblaient aller trop vite et trop fort. Mais aucune épidémie ne ressemble à la précédente. Il faudra certes veiller à ne pas renouveler, en 2011 ou en 2012, les erreurs de 2009, mais il faudra aussi prévoir un mécanisme de réponse mieux adapté. On ne sait jamais comment une épidémie va se dérouler : il est donc légitime de donner l'alerte, mais pas de susciter l'alarme.