a déclaré qu'il avait toujours été favorable à la vaccination des groupes à risques, dont faisaient notamment partie, en l'occurrence, les femmes enceintes, comme toutes les études publiées le montrent. Il a estimé que si l'on avait pu vacciner les populations à risque, on aurait réussi l'opération. C'est parce que l'on a visé trop haut que l'on s'est trompé. Rappelant la question que lui avait posée M. Gilbert Barbier sur les quantités de vaccins à commander, il a considéré que si l'on avait commandé les quantités nécessaires pour vacciner les 12 à 15 millions de personnes que représentent les groupes à risque, et si on les avait effectivement vaccinées, on aurait eu des résultats.