a indiqué que dans le cas de l'hépatite B il avait été un peu surpris par les évaluations ou certaines prises de position de l'OMS.
L'OMS explique que les noms des experts du comité d'urgence sont tenus « secrets », pour les protéger des pressions. On ne sait si c'est vrai, mais il serait souhaitable que l'OMS s'exprime clairement sur cette question. Il faudrait également qu'à l'OMS aussi on respecte le principe de séparation de l'expertise et de l'évaluation. Il pourrait y avoir, à côté des experts, un panel de spécialistes qui seraient, eux, connus et qui évalueraient l'avis de ces experts. Sans cette séparation entre expertise et évaluation, un dispositif ne peut pas fonctionner ou est appelé à connaître des crises.