a ajouté qu'il ne fallait pas perdre de vue deux éléments : d'une part, le taux de mortalité lié à la grippe saisonnière - entre 3 000 et 5 000 décès par an - demeure élevé, ceci d'autant plus qu'il touche une population restreinte et, d'autre part, la contagiosité d'un virus est une caractéristique épidémiologique à prendre en compte, tout autant que sa virulence.