Si nous ne sommes pas fermes et clairs, nous n'arriverons pas à faire appliquer nos règles à l'école. J'entends ou je lis ici ou là que certains parlent de « criminalisation d'élèves ». Or le crime, ce serait de laisser faire, ce serait de ne pas réagir !
Je le dis ici et je le réaffirme : oui, je continuerai à faire preuve d'une très grande fermeté sur ce sujet.
Je rappelle deux règles élémentaires : le souvenir de professeurs qui sont tombés pour l'école, on ne le piétine pas, on l'honore ; l'autorité de l'école et de la République, on ne la conteste pas, on s'y soumet.