Je partage la position, nuancée, mais pas vraiment enthousiaste, de M. le rapporteur, pour une raison simple, qui vaudra d’ailleurs pour d’autres amendements : je pense qu’il faut garder la plus grande flexibilité possible dans ce texte.
C’est ce qu’ont fait votre rapporteur et le président de la commission du développement durable et de l’aménagement du territoire de l’Assemblée nationale, M. Zulesi, en proposant un texte de confiance. Il faut laisser de la flexibilité aux projets qui émergeront. La notion d’aire d’attraction est importante, mais elle ne peut pas être exclusive dans la définition des paramètres. Il faut garder un peu de marge.