Je l’ai dit et répété : je n’ai pas de tabou. C’est une première ouverture intéressante sur les types de ressources à mobiliser. Sachez que, à l’Assemblée nationale, sur l’initiative du président Zulesi, que j’ai beaucoup appuyé, j’ai souhaité que l’on réfléchisse – en quelque sorte en option – à des sociétés de projet, à des ressources affectées et à des contributions budgétaires de l’État… Toutes ces questions sont ouvertes.
Je ne voudrais pas donner le sentiment que la question de telle ou telle ressource, notamment celle du versement mobilité, est limitée au périmètre des Serm ; et inversement, que la question des Serm est limitée à celle du financement apporté par l’État, tel qu’il est voté par le Parlement.
Ce glissement, que je sens dans la lettre et l’esprit de cet amendement, me préoccupe quelque peu. Pour cette raison, mais n’y voyez ni malveillance ni malice, j’y serai défavorable.