Dans certaines situations, il n'y a pas d'autre solution, par exemple dans l'agriculture de conservation des sols. On peut se complaire dans d'inlassables « y'a qu'à, faut qu'on » ; on peut répéter en boucle qu'il y a des solutions de substitution. Mais il faut parfois reconnaître qu'il n'y en a pas, que la recherche est nécessaire, étant entendu que nous sommes bel et bien sur la trajectoire de la réduction.
Par ailleurs, s'il n'y a pas d'autre solution, il n'y a pas d'interdiction : telle est la ligne que nous nous sommes fixée, et à laquelle nous nous tiendrons.