Il a démissionné, faute d'avoir été soutenu et protégé par les services de l'État, qu'il aurait pourtant alertés.
En réponse à ces défaillances inacceptables, le Gouvernement a fait son mea culpa, et s'est engagé à travailler avec les élus pour assurer leur sécurité et prévenir les tensions, hélas ! prévisibles, notamment dans les projets d'installation d'hébergement d'urgence.