Cet amendement vise à étendre aux étudiants de pharmacie et de maïeutique l’allocation mensuelle prévue dans le contrat d’engagement de service public (CESP). Il y a un problème d’attractivité des études en pharmacie et en maïeutique, alors que cela correspond à un enjeu majeur pour la santé des femmes.
Une telle extension garantirait aussi des installations dans les territoires. Je peux en témoigner : en Seine-Saint-Denis, une grande partie des médecins et les sages-femmes installés sont précisément ceux qui ont bénéficié du CESP à l’université Sorbonne Paris Nord.
Cette allocation est un bon dispositif, même si elle ne concerne pas des milliers d’étudiants.