Je veux saluer le travail de notre rapporteure.
Bien évidemment, nous sommes confrontés à une pénurie. Dans de tels cas, on est toujours tentés de recourir à la contrainte pour surmonter la crise à court terme. Mais cela ne marche jamais, en médecine comme dans les autres secteurs.
En réalité, la question est celle de l’attractivité des métiers. Je sais que nos débats sont très regardés. Il est extrêmement important de faire en sorte que la médecine, notamment la médecine générale, redevienne attractive. C’est le meilleur remède à la pénurie, qui est dramatique.