On parle ici des études d’infirmier, mais il y a un problème équivalent pour les études en pharmacie : au dernier concours d’entrée en deuxième année, 471 places sont restées vacantes ; nous avons alerté Sylvie Retailleau, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, sur le sujet.
Personne aujourd’hui n’est capable d’expliquer à un jeune comment faire pharmacie. Nous manquons déjà d’environ un millier de pharmaciens ; au tournant des années 2030, il en manquera entre 6 000 et 7 000.
Parcoursup est un mauvais point d’entrée pour ces études, et pour les études de santé en général. Nous devons absolument simplifier les choses. C’est pour cela que je trouvais cet amendement intéressant.
Je le répète, Parcoursup est un boulet : prenons-en acte et changeons les choses !