Cette situation, difficilement acceptable par les maires, contribue à leur découragement dans l’exercice de leurs fonctions.
Déjà, en 2019, notre collègue Sylviane Noël interrogeait le Gouvernement sur cet état de fait. Rien n’a évolué ! Les maires, notamment ceux des plus petites communes, attendent un réel soutien de l’État. Sinon, ils n’auront d’autre choix que d’abandonner.
J’aurais pu citer d’autres communes ayant subi les mêmes constats de désassurance, comme Saint-Brieuc ou Saint-Omer. Ne leur restera-t-il qu’à se vouer aux saints pour se protéger ?