C’est ce que nous avons essayé de faire pour les entreprises, pour les passeurs, et en matière de logement ou de délinquance.
Le but est de donner toutes les chances de s’intégrer aux personnes qui jouent le jeu de la légalité, lesquelles peuvent solliciter un visa. Le groupe Les Républicains estime que nous en accordons trop : cela montre bien que nous n’avons rien contre l’immigration régulière !
Néanmoins, lorsqu’une personne veut entrer dans notre pays – je ne parle pas là des demandeurs d’asile –, la moindre des choses est qu’elle en demande l’autorisation et que nous la lui accordions. Lui répondre par la négative ou par l’affirmative relève de notre pouvoir souverain. La politique de visas peut être plus ou moins extensive, mais on ne saurait encourager l’irrégularité.
Monsieur Savoldelli, vos propos sont un peu excessifs, pour les raisons sémantiques invoquées par M. le rapporteur, et parce que la présente mesure est de bon droit.