Je tiens à féliciter M. Savoldelli : il a parfaitement illustré l’incohérence de l’argumentation développée par Mme la rapporteure.
Nous demandons simplement que les situations des demandeurs d’asile soient étudiées au cas par cas, sur la base de motivations personnalisées, et non de façon automatique.
Je pourrais citer dix autres exemples de refus de logement qui compléteraient celui que vous venez d’entendre. Il est possible de refuser un logement, il arrive que l’on ne fournisse pas à temps les bons papiers ; pour autant, cela doit-il automatiquement condamner la personne concernée à la suspension de cette allocation ?
Non, bien évidemment ! Il faut examiner les situations personnelles.