Intervention de Olivier Henno

Monsieur le président, madame, monsieur les ministres, mes chers collègues, mes premiers mots sont des remerciements, d'abord adressés à la rapporteure générale pour la qualité de son travail, pour la précision de ses propos et pour la pertinence de ses amendements.

Je remercie également M. le président de la commission des affaires sociales, qui a parfois été au four et au moulin, et toute l'équipe de la commission des affaires sociales pour la préparation et l'exécution de ce débat sur le projet de loi de financement de la sécurité sociale.

Je remercie enfin, pour la forme, les ministres qui ont siégé au banc et qui sont souvent sortis de leurs fiches, cherchant à argumenter et à animer ce débat.

Seulement, il y a le fond et le texte lui-même. Tout au long du débat, on a entendu de nombreux adjectifs visant à qualifier ce PLFSS : « plat », « décevant », « désabusé ». Nous, membres du groupe UC, parlerons d'un PLFSS « désenchanté », comme la célèbre chanson de Mylène Farmer