La lutte contre les violences faites aux femmes est une priorité gouvernementale, ainsi que vous l'avez indiqué.
Le parc d'hébergement qui y est dédié a doublé en cinq ans, passant de 5 000 places en 2017 à plus de 10 000 à la fin de l'année 2022. Il en comptera 11 000 d'ici au mois de juin 2024.
De l'avis même des acteurs de terrain, cette montée en puissance correspond à celle de la demande. L'effort est donc tout à fait adapté.
J'émets donc un avis défavorable sur ces trois amendements.