Je suis évidemment sensible à vos propos, ma chère collègue. Pour autant, comme cela a été dit précédemment, il faut noter que les crédits des programmes 160 et 17 augmentent déjà. Par ailleurs, il convient d'approfondir la réflexion sur les causes profondes de la détresse sociale, mais aussi sur les structures locales.
En l'occurrence, nous examinons une dotation nationale. Peut-être des structures locales permettraient-elles de répondre à ce problème ? Je pense ainsi à l'association Rhéso, dans mon département de Vaucluse, dont je rencontre souvent les responsables. Mieux vaudrait renforcer ces structures plutôt que de flécher des crédits de manière trop spécifique à l'échelle nationale.
Je demande donc le retrait de cet amendement ; à défaut, l'avis sera défavorable.