Entre 2020 et 2023, 3, 5 millions d'euros ont été engagés dans les territoires concernés, permettant d'inclure 40 000 hectares dans les surfaces concernées par des mesures agroenvironnementales et climatiques, contre moins de 20 000 hectares jusqu'en 2019. En 2023, on devrait même atteindre 50 000 hectares. On voit donc l'effet de l'investissement permis par le programme 162.
Le rapporteur spécial l'a dit, cette action n'a pas vocation à se poursuivre, mais d'autres acteurs peuvent se mobiliser et ils le feront, car l'action en faveur de l'eau ne se résume pas aux crédits du programme 162. Je pense par exemple à l'agence de l'eau Loire-Bretagne, qui contribuera à hauteur de 1, 1 million d'euros par an pendant quatre ans. Cette action connaîtra donc une forme de continuité.
L'avis est donc défavorable.